Test - The Cave

Il était une fois plusieurs fois...une cave.

Test - Hotline Miami

Un animal est dans la place.

Test - Faster Than Light

Le space opéra minimaliste

Test - Edna and Harvey's New Eyes

Lili au pays des Nerveux.

Test - Lucius

Je suis ton fils!

News - Un nouveau et apocalyptique DLC pour Trials Evolution


     Quelques jours avant la fin du monde, on peut dire que RedLynx n'a pas froid aux yeux. Le studio a en effet prévu de sortir le deuxième DLC de l'incroyable Trials Evolution

     Sortie en avril dernier, cette pépite du XBLA surfera sur la vague de l'Apocalypse en proposant une quarantaine de nouveaux niveaux dédiés à la destruction ainsi qu'une dizaine de mini jeux. Portant le nom de Riders of Doom, le DLC sera proposé à 400 MsP et devrait être disponible en décembre, le 21 ? 

     En coup cas, moi, je sais ou je serait 21 décembre, sur ma bécane ! Yeah!

News - Journey aux Grammy Awards.


     Quand on sait le chemin qu'il a parcouru, voir le jeu vidéo grandir un peu plus chaque jour est un réel plaisir. Aujourd'hui on apprend que le magistral Journey ( dont vous pouvez trouver le test ICI)créé par Jenova Chen se retrouve nominé aux Grammy Awards, la cérémonie américaine qui récompense les meilleurs oeuvres musicales de l'année. 
     C'est donc le tout aussi génial Austin Wintory ( qui travaille actuellement sur The Banner Saga)qui a composé la musique du jeu, qui se retrouve sur le devant de la scène dans la catégorie Best Score Soundstrack For Visual Media. Et ce n'est pas un petit prestige quand on voit avec qui il concoure : Howard Shore, Hans Zimmer, Ludovic Bource, John Williams et Trent Reznor & Atticus Ross

     Rendez-vous donc en Février pour célébrer cet évènement qui avait déjà couronné un certain CIVILISATION IV pour son thème principal...

P.S. : Vous pouvez écouter la BO à cette adresse.

Test - Home


     Si vous nous suivez depuis un petit moment déjà, vous vous rappelez peut-être de Home que nous avions mis en avant sur le site. Un jeu développé sous la houlette d'un homme nommé Benjamin Rivers
     Hommage aux jeux du glorieux passé vidéoludique qui, comme un boomerang reviennent sur le devant de la scène. Au grand plaisir des nostal'geek. Home nous rappelle un certain Alone in the Dark. Autant dire les prémices de l'horreur sur galette numérique. Et si j'en reparle aujourd'hui c'est donc pour vous faire un rapide test de mon expérience sur un titre étonnant à plus d'un égard.

     Benjamin Rivers fait découvrir dans Home, un monde en pixel art ( comprendre volontairement grossier). Une orientation graphique qui donne un charme non négligeable à ce jeu d'ambiance sinistre. Vous allez comprendre pourquoi.
     Home, en bon jeu d'horreur, place notre héros dans une situation bien inconfortable. Amnésique et mal en point, le jeu vous propose, à travers différents tableaux horizontaux, de refaire le file des évènements étranges qui se sont produits il y a peu sous le nez de votre héros.


     Simple dans la formule, il y a pourtant beaucoup à en retirer puisque c'est vous et vos actions qui articulent l'histoire qui se déroule. Ainsi, attendez vous à découvrir ce que votre curiosité vous aura poussé à découvrir. 
     Musicalement minimaliste, l'ambiance réussie des bruitages va jouer avec vos nerfs. On vous préviens d'ailleurs très bien en début de partie dans quelles conditions ce jeu doit être joué : dans le noir et avec un casque audio. Très efficace.
Pour la partie contraignante, le jeu est en anglais. Encore une fois, je ne vous facilite pas la tâche mais une fois que vous aurez fini le jeu, vous me remercierez. D'autant qu'il est très court. Un peu plus d'une heure suffira pour enfin sortir la tête du cauchemar.Voila pour la forme. 


     Dans le fond, Home est vraiment généreux. Dès les premières minutes, malgré le fait que ce soit du pixel art, on comprend que le personnage boite à travers ces quelques pixels qui le compose et ça j'ai adoré. Mieux, sans trop en dire, soyez attentif aux décors variés du jeu car là encore, Benjamin Rivers a laissé des indices pour nous les joueurs quant aux mystères que cachent l'intrigue. Plus qu'un simple jeu d'aventure inquiétant, Home impressionne par une finesse d'écriture, de game design et cette envie constante de savoir ce qui se cache derrière les portes malgré cette peur de l'inconnu. Personnellement, si je le rapproche d'Alone in the Dark, c'est aussi grâce à un auteur : Lovecraft. Si vous n'avez jamais lu H.P Lovecraft, il est encore tant de découvrir l'incroyable potentiel addictif de ses nouvelles. C'est justement ça, qui fait que Home vaut le coup d'être joué. C'est l'incroyable pouvoir de l'imagination qui se met en marche et vous happe dans un monde fantasmatique. Avec peu de choses, Home vous donnera beaucoup. Pour moins de 3 euros sur le site de Benjamin Rivers ou sur Steam, c'est une des expériences 2012 que vous devez essayer.